C’est une formule de financement destinée à couvrir les besoins de financement en investissement et en exploitation des professionnels activant dans le secteur de la pêche et de l’aquaculture.

Eligibilité

Le crédit « Pêche et Aquaculture » est destiné à :

• Personne physique de nationalité algérienne ou morale de droit algérien, pratiquant la pêche et/ou l’aquaculture en eaux sous juridiction nationale et /ou en dehors.
• Entreprise économique activant dans les filières liées au développement, à la transformation, à la conservation et à l’utilisation des produits et aliments de la mer.

Les Conditions de financement

Quelles sont les besoins couverts par le crédit « Pêche et Aquaculture » ?

• Acquisition d’équipements et engins flottants, destiné à la pêche ;
• Installation d’établissement d’élevage et de culture ;
• Installation et/ ou rénovation d’infrastructures de transformation et de stockage des produits de la mer (ressources de la pêche et aquacoles) ;
• Installation et/ou rénovation d’unités production d’aliments et intrants pour l’aquaculture et médicaments vétérinaires ;
• Acquisition de moyens et équipements de production aquacole, de transformation et stockage de produits de la mer et de production d’aliments pour l’aquaculture et de médicaments vétérinaires ;
• Acquisitions d’intrants couvrant les besoins en financement d’exploitation des professionnels activant dans le secteur de la pêche et/ou de l’aquaculture (Aliments, alevins, naissains, chaluts et dragues, sennes …etc).

Quelles sont les conditions d’octroi du crédit « Pêche et Aquaculture » ?

• Avoir un permis ou une autorisation d’exercice de pêche, de la Direction chargée de la pêche, territorialement compétente ;
• Obtention de la qualité d’Armateur de navire, délivrée par la Direction chargée de la pêche, territorialement compétente ;
• Avoir une autorisation définitive pour la création et l’exploitation d’un établissement d’aquaculture, délivrée de la Direction de la pêche et des ressources halieutiques, territorialement compétente ;
• Disposer d’un registre de commerce pour les entités économiques activant dans les filières liées au développement, à la transformation, à la conservation et à l’utilisation des produits et aliments de la mer.